Les Québécois achètent en ligne, et ce, peu importe la provenance du produit. Ainsi, tout ce qu’ils souhaitent c’est de trouver ce dont ils ont besoin! L’hésitation des commerçants québécois à développer leurs parts de marché en ligne occasionne donc une « coupe franche » dans l’économie d’ici. Les produits achetés sur des sites étrangers pourraient tout autant l’être sur des sites québécois si ce n’était de notre retard considérable dans le domaine du cybercommerce. Une réflexion collective chez nos commerçants s’impose…

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