Cet article nous ramène aux années 1980, lorsque les développeur·euse·s d’Ada ne sauvaient pas de fichiers texte, mais une structure intermédiaire (IR) appelée DIANA. Cette approche permettait de présenter le code de plusieurs manières (espaces ou tabulations, style) tout en maintenant une sémantique cohérente — une forme primitive d’édition projectionnelle. En comparaison, le formatage que nous imposons aujourd’hui via des linters et des règles strictes semble un retour en arrière. L’auteur plaide pour repenser la manière dont nous utilisons les formats de code avec les outils modernes.
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